Le jeudi de l'Ascension nous organisons traditionnellement le brevet fédéral de 250 km. Cette année, la concurrence du B.R.M. de 600 km qui se déroulera dans deux jours nous prive de la participation de nombreux randonneurs, mais qu'importe, tous ne participeront pas à Paris-Brest-Paris. Le brevet ne comptera donc que cinq lauréats qui bénéficient d'un magnifique lever de l'astre sur un filet de brume. A Cassel (ci dessous) le soleil commence à chauffer
Après les Flandres, les premières collines de l'Artois, ici avant de descendre sur Pernes, Stéphane, Jean Claude et Ludovic.
Les côtes se succèderont tout au long de la journée, avec quelques gros morceaux comme le Mont Saint Eloi, et comme dit Stéphane "si je tenais celui qui a tracé le parcours...", mais les paysages valent bien quelques efforts, ci dessous à Equirre.
Le vent de face à environ 50 km/h constitue le dernier obstacle de la journée, histoire de prouver que, contrairement à ce qu'écrivait un cyclo-journaliste dauphinois il y a une bonne trentaine d'années, le cyclotourisme de plaine n'est pas un exercice dérisoire.
Après les Flandres, les premières collines de l'Artois, ici avant de descendre sur Pernes, Stéphane, Jean Claude et Ludovic.
Les côtes se succèderont tout au long de la journée, avec quelques gros morceaux comme le Mont Saint Eloi, et comme dit Stéphane "si je tenais celui qui a tracé le parcours...", mais les paysages valent bien quelques efforts, ci dessous à Equirre.
Le vent de face à environ 50 km/h constitue le dernier obstacle de la journée, histoire de prouver que, contrairement à ce qu'écrivait un cyclo-journaliste dauphinois il y a une bonne trentaine d'années, le cyclotourisme de plaine n'est pas un exercice dérisoire.
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