lundi 27 avril 2015

LE 100 KM DU CYCLOTOURISME DOUX

Pratiquer le "cyclotourisme doux", ce n'est pas se limiter à de courtes distances mais pratiquer à un rythme modéré de manière à ne pas s'épuiser. Le cyclotourisme doux, c'est aussi progresser, prendre conscience de ses possibilités, se préparer au voyage. Effectuer un brevet fédéral de 100 km constitue un cap permettant de prendre confiance en soi. Le délai de sept heures accordé par les règlements fédéraux est accessible aux adeptes du CT doux pratiquant régulièrement.
Nous étions quatorze au départ, dont onze "doux". La plupart n'avaient jamais réalisé une telle distance. De Dunkerque à Steenvoorde le vent favorable permet un échauffement tranquille. Petit ravitaillement au contrôle, et briefing afin de monter Les Récollets et Cassel dans les meilleures conditions. Le premier mont est certes le moins élevé, le marchepied du second, mais la pente est raide, et un virage à droite particulièrement serré. Il convient donc de mettre tout à gauche avant le raidillon et de prendre le virage au milieu de la route, et de veiller à ne pas affoler le cardiofréquencemètre. La seconde partie est pavée, surtout de mauvaises intentions, mais les habitués connaissent le trottoir bitumé plus confortable. La descente est abordée prudemment, puis les montées du "Tomme" et du "Balenberg" allongent le groupe qui se reforme sur le plat avant la descente de Watten. Ruminghem a été retenu pour le casse-croûte, chacun ayant été invité à emporter ses sandwichs. Il suffit maintenant de rentrer à Dunkerque, un peu plus de 30 km de plat, mais avec le vent de face. L'allure régulière et la surveillance des moins costauds permettent un retour bien groupé, selon la devise "on part ensemble, on rentre ensemble" et dans les délais.


La photo souvenir à Cassel

    

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